#UneProthesePourUneVie
Chaque enfant amputé a droit à une vie digne. Aidez-nous à leur fournir une prothèse.
Une prothèse pour une vie
#UneProthesePourUneVie
Help ons om elk kind met een amputatie toegang te geven tot een prothese en een waardig leven
Dans le monde, des milliers d'enfants perdent un membre à cause des guerres, des catastrophes naturelles, des accidents ou des maladies. Dans de nombreux pays, ils n'ont pas accès aux soins appropriés.
C'est pourquoi nous lançons #UneProthèsePourUneVie, une campagne visant à garantir que chaque enfant amputé d'une jambe ait la possibilité de marcher et de jouer comme les autres enfants.
C'est quoi #UneProthesePourUneVie ?
Matériel d'aide
Dans 45 pays, nous fournissons à des enfants une prothèse qui change leur vie.
Réadaptation
Nous évaluons les besoins de chaque enfant et mettons en place un programme de kinésithérapie personnalisé.
Technologies innovantes
Nous utilisons des technologies modernes comme des applications de réadaptation à distance et des imprimantes 3D pour rendre les prothèses accessibles à tous et toutes.
Durabilité
Nous formons des médecins et des kinésithérapeutes à l'échelle locale, dans les pays où nous travaillons, afin de garantir un impact positif sur le long terme.
Je participe !
Ensemble, nous veillons à ce que chaque enfant amputé bénéficie du soutien nécessaire pour mener une vie heureuse et digne, en toute autonomie.
Dans cette vidéo, découvrez comment une simple prothèse a changé la vie de Jubair.
Jubair a 13 ans et a fui le Myanmar avec sa famille en 2017. À la frontière avec le Bangladesh, il a été touché par une balle à la jambe gauche. Jubair a pu être rapidement transporté à l'hôpital, mais il a perdu sa jambe. Ses blessures étaient trop graves et l'amputation était inévitable.
Le quotidien dans le camp de réfugiés était extrêmement difficile : il ne pouvait pas se tenir debout, souffrait de douleurs fantômes et était contraint de rester à l'intérieur. Jusqu'à la visite de l'équipe mobile de Handicap International, qui a immédiatement mis en place un programme de réadaptation, lui a fourni des béquilles et lui a fabriqué une prothèse.
« Je suis très heureux », dit Jubair. « Jusqu'à présent, c'était comme s'il me manquait une partie de moi-même. Mais maintenant, je suis à nouveau complet. Je peux à nouveau marcher et jouer au football comme avant. »